mardi 9 avril 2013

Déconstruire Canada Goose.:

Derrière une « politique de la fourrure » qui se veut saine et éthique se cachent de nombreuses incohérences et contre-vérités.
Les arguments suivants ont été pris directement sur le site de la marque dans la rubrique « fur Policy » (notre politique de la fourrure / février 2012).
Canada Goose est une entreprise canadienne de vêtements plein air (outdoor) qui utilise de la fourrure de coyote en garniture de capuche.
Dans un effort visant à influencer le public, la marque a une « politique de la fourrure »
Malheureusement, les déclarations faites dans cette rubrique  ne sont pas de nature à éclairer le débat mais plutôt à désinformer le public dans le seul but d’entretenir un business lucratif.
Nous avons pris la liberté de décrypter cette « politique de la fourrure » point par point à partir de faits avérés et solides.
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Les sympathisants de la cause animale décrivent des pièges en acier ou à mâchoire qui n’existent plus/ Les pièges de nos jours peuvent immobiliser les animaux avec peu ou pas de blessures.
Le fameux piège en question est encore légal dans chaque province et territoire du Canada et demeure largement utilisé en dépit de son interdiction dans de nombreux pays (dont l’UE et les états américains de la Floride, Rhode Island, New Jersey, Arizona) L’American Veterinary Association, et d’autres O.N.G s’opposent à ce type de piège. Alors que les pièges à mâchoires avec “dents” ont été interdits, tous les pièges à mâchoires ont la même intention: empêcher l’évasion d’un animal lorsqu’il se bat pour sa vie. De nombreux animaux meurent en essayant de se libérer, et subissent une perte de sang importante ou encore souffre de déshydratation ou d’hypothermie. Certains animaux désespérés se rongent le membre piégé pour s’échapper.
Les vidéo présentées par les associations montrent des coyotes et des renards semblant  lutter pour se libérer des pièges, alors qu’en fait c’est parce qu’ils ont été approchés par un être humain…
 Ceci est manifestement faux. Les  Animaux luttent parce qu’ils ont peur et ne veulent pas être retenu. Il n’y a pas de meilleur exemple que ce que montre le film, Crying Shame(1) Toutes les images ont été recueillies par un trappeur autorisé sur une ligne de piégeage au cours de la saison de piégeage avec des pièges encore en usage aujourd’hui Les animaux ont été filmés par des caméras automatiques – aucun homme ne s’approchait - et la réaction est la même.
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La recherche montre que lorsque ces animaux savent qu’ils ne peuvent plus s’échapper, ils se placent généralement vers le bas et attendent tranquillement que le trappeur arrive. En outre, beaucoup de ces vidéos sont  anciennes  et montrent des méthodes qui ne sont plus utilisées.
Le bon sens réfute cette allégation. De telles affirmations sont absurdes. Les faits montrent que leur désir de se libérer est si fort que les animaux se cassent les dents et les os en tentant de s’échapper. Une fois de plus, nous vous invitons à visionner notre vidéo, Crying Shame… Si un animal piégé s’arrête de lutter, c’est parce qu’il est épuisé  affamé, déshydraté, ou est en train de mourir d’hémoragie, ou d’hypothermie.
Pour  Canada Goose, la fonctionnalité est primordiale. Notre utilisation de la fourrure a strictement un but fonctionnel. Nos vestes sont conçues pour être utilisés dans les endroits les plus froids du globe là où la peau du visage peut geler en un instant …. Nous avons appris des peuples autochtones du Nord du Canada ainsi que grâce a une importante étude menée par l’Université du Michigan qu’il existe trois types de fourrure véritable pour protéger les personnes contre les engelures.
Canada Goose aime à évoquer l’image d’épinal d’une recherche scientifique en randonnée le long de la toundra Arctique…. Donc, si Canada Goose  fait des manteaux uniquement pour les “endroits les plus froids du globe”, pourquoi sont-ils distribués partout de Toronto, à Paris ou encore Londres et Milan ?
La vérité est qu’avec près de 50 millions de dollars de ventes annuelles Canada Goose veut placer son produit dans la tendance de la mode et que l’argument chaleur est simplement un argument de vente. Reiss admet même qu’avec l’insigne sur le bras d’une veste Canada Goose  les gens pensent appartir à un club… Reiss prétend que Canada Goose est la montre suisse du vêtements , ou la Land Rover des vêtements. En réalité Canada Goose est beaucoup plus proche d’un Hummer: excessif, irresponsable et  inutile.
En ce qui concerne Cette fameuse «étude sur la fourrure », nous n’avons pu la trouver. Nous avons même contacté l’Université du Michigan, qui ne possède pas une telle étude dans ses dossiers. Canada Goose de son côté est incapable de fournir une telle référence pour ce dossier…
Dans ces environnements impitoyables, quand la vie est en jeu, la fourrure est non seulement le meilleur choix, mais le seul choix. Nous n’utilisons pas de fausse fourrure parce qu’elles ne permettent tout simplement pas de protéger du froid comme la fourrure de coyote réel.
(…) En dépit de ce que Canada Goose voudrait vous faire croire, les gens peuvent escalader des montagnes sans parkas décorées de fourrure. Beaucoup de marques concurrentes axées sur la performance technique choisissent d’utiliser des matériaux synthétiques (Arc’teryx, Mountain Equipment Coop, en Colombie, en Patagonie, Fjällräven, etc.) Et en dehors de la décoration en fourrure les parkas Canada Goose sont faites avec des matières synthétiques (polyester, nylon dont une grande partie est traitée avec du déperlant durable (DWR)). Et surtout, la grande majorité des gens ne vit même pas dans de tels climats où  la peau peut geler en un instant! La majorité de la population visée vit dans de grands centres urbains
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La fourrure que nous utilisons est acquise par les moyens les plus humains et nous nous conformons aux directives du Conseil canadien de la fourrure qui régit l’utilisation de la fourrure dans notre pays.
Le Conseil canadien de la fourrure n’a aucune autorité légale au Canada. Ils sont tout simplement l’organe  marketing de l’industrie de la fourrure et en tant que tels, ils représentent les intérêts des fourreurs ! En d’autres termes cela ne veut rien dire.
L’industrie de la fourrure est le parfait exemple d’industrie durable.
C’est probablement l’argument le plus souvent répété par CG en faveur de la fourrure, mais un rapide aperçu de piégeage et de l’élevage pour la fourrure laissent peu de place au débat: l’industrie de la fourrure, n’est pas durable ni «verte».
Les pièges ne sont pas sélectifs, ce qui signifie que les espèces en danger se font prendre fréquemment.
En Janvier 2011, un trappeur du Manitoba a trouvé un fauve mort dans son piège (qui avait été conçu pour les coyotes). L’animal était répertorié comme une espèce protégée, et en vertu de la loi le trappeur eut à le signaler à la Conservation Manitoba.
La majorité du piégeage au Canada a lieu sur des terrains appartenant au gouvernement fédéral si vaste (plus de 500 miles carrés) qu’il n’est pas possible de surveiller la sélectivité des pièges.
Circuler et patrouiller sur les terrains de chasse, ainsi que  transporter les cadavres d’animaux et relever le matériel de piégeage implique forcément de la pollution. Les trappeurs utilisent des automobiles et des motoneiges.
Le piégeage moderne repose en grande partie sur l’utilisation de combustibles fossiles.
80% des animaux tués pour leur fourrure proviennent de fermes à fourrure (Statistique Canada, 2010). Comme les autres formes de l’élevage industriel, il s’agit d’un processus très destructeur pour l’environnement. Un rapport de 2011 sur l’élevage du vison, a révélé que la fourrure est une des industrie textile les plus polluante (utilisation des terres, participation au changement climatique, couche d’ozone, pollution des sols et de l’eau, et les émissions toxiques )
Pour chaque kilogramme de fourrure de vison d’élevage, 110 kilogrammes de dioxyde de carbone sont produit.
Le gaspillage en ressources naturelles est immense : 1 Kilogramme de fourrure de visons représente 563 Kilogramme d’aliments (céréale et viande)
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Les fourrures utilisées sont abondantes. Absolument aucune espèce en voie de disparition n’est utilisée.
 Tout d’abord nous estimons qu’il ne suffit pas qu’une espèce soit menacée pour s’émouvoir de son sort, au contraire ! Les animaux ne sont pas de la ressource renouvelable, et encore moins des stocks, mais des êtres sensibles dotés de la capacité de souffrir.
De plus il serait contraire à la loi pour CG d’utiliser ces espèces menacées, donc CG n’a aucune raison de s’en féliciter. Mais ils omettent de mentionner que les pièges sont aveugles, ce qui signifie que tout type d’animal (y compris les espèces en voie de disparition) peut se laisser prendre au piège. Les chiffres indiqués sont inquiétants. Par exemple, l’American Veterinary Medical Association rapporte que les «animaux non ciblés» (ou animaux déchets comme ils sont appelés par l’industrie) représentent jusqu’à 67% des captures totales. Certains estiment que pour chaque «cible», jusqu’à 10 animaux-déchets sont tués. Incluant aussi bien des chiens et des chats, que des espèces en voie de disparition. Un exemple (2) (Wawatay Nouvelles)
Il est important de noter qu’il n’y a pratiquement aucune incitation pour les trappeurs de signaler les prises accessoires, surtout si ce sont des animaux en voie de disparition (ce qui pourrait entraîner une pénalisation) et il n’y a pratiquement aucun moyen de faire respecter les lois. Ainsi, CG et l’industrie dans son ensemble participe à la mort des espèces en voie de disparition (ainsi que des chats, des chiens et autres animaux non-ciblés.). Les pertes totales dues à une simple garniture de fourrure sur une capuche sont plus importantes que celles impliquant uniquement les  coyotes. Pour plus d’informations sur les animaux non visés, s’il vous plaît cliquez ici.(3)
Le Canada est le chef de file mondial de la recherche pour développer les systèmes de piégeage les moins cruels possibles, et a investi plus de 20 millions de dollars dans cette recherche et son développement, en fournissant les bases scientifiques d’un  Accord sur les normes internationales de piégeage sans cruauté qui a été signé par le Canada, l’Union européenne et la Russie. Seule la fourrure prise avec des méthodes qui répondent à ces normes internationales peut être produite au Canada. Les trappeurs au Canada ont une autorisation et ne peuvent pas renouveler leur permis sans prendre des cours pour apprendre à utiliser les nouvelles méthodes
Tout d’abord il semble assez scandaleux que 20 millions de dollars puissent être consacré à améliorer les pièges plutôt qu’a développer des matières synthétiques ou alternatives performantes afin de remplacer la mise à mort de ces animaux…cela aurait été véritablement une démarche progressiste.
En 1995, l’Union européenne a adopté une interdiction progressive sur l’utilisation de pièges à mâchoires dans tous les pays membres, ainsi que l’interdiction de la fourrure provenant de n’importe quel pays utilisant encore de tels pièges à mâchoires. En réponse, le Canada menaça l’UE de sanctions économiques Malheureusement, l’UE a exempté le Canada de cette interdiction, Le Canada, les Etats-Unis et la Russie ont souhaités plutôt « accord sur les normes internationales de piégeage sans cruauté» (ANIPSC). Cet accord fut fondé sur l’engagement de développer et d’utiliser seulement des méthodes dites  “humaines”, avec pour but d’aboutir à l’éventuelle interdiction totale…Malheureusement, cela changea très peu de choses à la réalité.
Les normes s’appliquent à12 espèces d’animaux tués pour leur fourrure régulièrement (castor, le rat musqué, la loutre, la belette, la martre, le pékan, le raton laveur, le blaireau, le coyote, le loup, le lynx et le lynx roux).Absent de l’accord : les visons, les renards, et le carcajou. Bien que le piège à mâchoire d’acier ne soit plus permis, des versions modifiées de manière superficielle reste utilisées. Ceci est contraire à l’objet même de l’accord. À l’heure actuelle, les mêmes pièges qui ont été utilisés depuis 40 ans sont toujours autorisés, y compris les pièges, qui sont considérés comme inhumain, même par des groupes modérés…
Nous sommes fiers du fait qu’en soutenant cette industrie durable, nous soutenons également les communautés autochtones canadiennes du Nord et leurs modes de vie séculaires menacés.
CG et l’industrie de la fourrure en général, prétend aider les populations autochtones à l’aide de la fourrure, mais en réalité, moins de 2% de la population autochtone du Canada sont impliqués dans la traite des fourrures. Les Trappeurs autochtones, en moyenne, gagnent moins de 400 $ par année, et ne reçoivent que 1% des profits de l’industrie canadienne de la fourrure * (15 Milliards de dollars en 2011)
Au-delà de la simple information trompeuse: l’industrie de la fourrure s’est  toujours opposé aux efforts des indigènes pour étiqueter la fourrure avec la mention «piégé par des indigènes». Pourquoi? Parce que l’industrie ne souhaite pas que le public sache combien est faible la part de la production totale produite par les populations autochtones…
L’industrie continue de promouvoir le « mythe » que le piégeage est culturellement et économiquement propre aux Autochtones du Canada. Pour plus d’informations sur le «piège indigène» utilisée par le commerce des fourrures, s’il vous plaît cliquez ici (4)
Ces communautés sont  éthiques dans leur approche fondamentale de la chasse: Nous nous identifions fortement à leur système de valeurs et cet  engagement se répercute dans la façon dont nous faisons affaires: CG n’achète pas de fourrure dans issus d’élevages.
CG ne pourrait pas acheter de fourrure d’élevage même si elle le voulait, parce qu’il n’éxiste  aucune  ferme à fourrure de coyote.
La  fourrure de coyote ne peut être obtenu qu’avec le piégeage. Canada Goose tourne le dos aux fermes à fourrure, comme si le piégeage était une meilleure option. Pourtant ils achètent leur fourrure dans des maisons de ventes qui vendent également de la fourrure d’élevage.
Malgré cette prise de position ferme Canada Goose n’a pas encore reconnu le dilemme moral auquel ils doivent faire face en popularisant la tendance fourrure, il est inévitable que Canada Goose entretien les marchés parallèles comme celui de la fourrure de chien et chat (en Chine) encore malheureusement légal au Canada ou celui des renards d’élevage (certains concurrents utilisent de la fourrure d’élevage tel Moose Knuckles).
Concernant les Alternative à la vraie fourrure : Les avantages environnementaux d’un produit naturel sont évidents par rapport à l’utilisation de matières synthétiques qui sont parfois décrites comme éthiques
Alors que l’industrie de la fourrure aime à prétendre que la fourrure est naturelle, un aperçu rapide du traitement de la fourrure établit nettement que cette revendication est parfaitement  fausse. Le pelage de l’animal juste après sa mort est décollé puis traité chimiquement afin de retirer les restes de  peau ou de poils encore attachés. Parce que la fourrure serait naturellement biodégradable, chaque peau doit être “habillé” (argot pour l’industrie), afin de stabiliser les fibres de collagène ou les protéines, ce qui arrête le processus de dégradation (de pourrir). Ce processus repose en grande partie sur des produits chimiques toxiques, y compris le formaldéhyde et le chrome, qui sont répertoriés comme carcinogènes et sont par ailleurs toxique pour les humains. D’autres produits chimiques qui peuvent être utilisés ou émis dans les procédés de préparation et teinture et qui apparaissent sur une ou plusieurs listes gouvernemental américaine de produits chimiques toxiques comprennent l’aluminium, de l’ammoniac, le chlore, le chlorobenzène, le cuivre, l’éthylène glycol, le plomb, le méthanol, le naphtalène, l’acide sulfurique, le toluène et le zinc “.
Le traitement de la fourrure est si intense que, selon Judith Eger, conservateur en chef des mammifères au sein du Département d’Histoire Naturelle du Musée royal de l’Ontario, les procédés de tannage, de teinture et de cisaillement font qu’il est presque impossible de déterminer de quelle espèce il s’agit tant les séquences génétiques sont endommagées. Enfin  n’oublions pas que les vestes Canada Goose, sont fabriquées avec les mêmes matières synthétiques qu’ils condamnent quand cela sert leurs intérêts (polyester, nylon et une grande partie est traitée avec un déparlant durable (DWR)).
De nombreuses associations font la promotion de la fourrure synthétique en oubliant l’impact de celle ci sur l’environnement.
Quel crédit peut on apporter à une telle allégation venant d’une marque qui utilise elle même des matières synthétiques pour ses blousons ?
La fourrure synthétique n’est peut être pas la meilleure solution, mais elle à tout de même le mérite d’épargner des vies animales ce qui est tout aussi indispensable que la préservation de l’environnement.
De plus l’utilisation de fourrure n’est pas indispensable : il n’y a pas à choisir entre fausse fourrure et vraie fourrure : un créateur a le choix de n’utiliser aucune fourrure. En revanche si cela apparaît véritablement indispensable alors la fourrure synthétique est la seule option éthique.
N’oublions pas que les élevages à fourrure ont une empreinte écologique bien plus forte que celle de la fourrure synthétique !
Nous choisissons le duvet, car il est, sans aucun doute, le meilleur isolant du monde … il fournit environ trois fois plus de chaleur qu’un matériau synthétique …
L’armée américaine, les Marines et les forces spéciales sont donc prévenus ! Pourtant le « PrimaLoft » est une microfibre synthétique isolante qui a été développé à l’origine pour l’armée américaine pour sa grande résistance à l’eau. Aujourd’hui, Primaloft est le premier fournisseur de textile  isolant de l’armée américaine, les Marines et les forces spéciales. Quand il s’agit de l’efficacité thermique, Primaloft est une alternative efficace, alors que le duvet est un mauvais isolant dès qu’il est mouillé et sèche lentement.(5)
Nous continuons à chercher de nouvelles façons pour étendre notre partenariat avec le PBI (Polar bears international ) et ainsi soutenir l’engagement important de l’organisation de la conservation mondiale de l’ours polaire et de son habitat.
Dani Reiss aime mentionner que Canada Goose est un soutien de Polar Bears International, un “groupe dédié à la conservation pour sauver les ours polaires” à travers “la recherche, l’éducation et l’action”. Reiss est en fait aussi le président du conseil d’administration (conflit d’intérêts ?), Et selon sa biographie, il a un engagement passionné pour les ours polaires, de l’extrême Nord, et la préservation de toutes les créatures sauvages et de l’habitat
Mais si Reiss est si profondément attachée à la préservation des ours polaires, pourquoi achète t’il ses peaux de coyote dans l’une des deux seules maisons de ventes Canadienne qui vend encore des peaux d’ours polaires (Fur Harvesters Auction dans le Nord Bay)?
Tout cela ressemble plus à une tentative pour donner une belle image éco responsable.
Conclusion :
Canada Goose  a dépensé beaucoup trop d’énergie à essayer de justifier et de légitimer son utilisation de la fourrure pour reculer aujourd’hui.
Par conséquent, le public doit s’attendre à ce que les campagnes marketing et la mise en place de relations publiques perdurent avec l’aide du Conseil canadien de la fourrure.
Pourtant les alternatives à Canada Goose sont infinies! Pourquoi choisir un produit aussi controversé qui implique autant de souffrance animale et de pollution environnementale ?
(le point sur les textiles polluants (6)
Si Canada Goose a réellement envie de devenir une marque éthique et moderne, elle doit sérieusement investir dans la recherche de matériaux non polluants et sans souffrance animale : c’est ce que fait la créatrice Stella mac McCartney qui fait développer ses propres matières…c’est cela être vraiment éthique et écologique : la créatrice Britannique prend 4 fois plus de temps que les autres créateurs pour développer ses propres matériaux : réduire son impact sur l’environnement sans cautionner la mort d’animaux est chez elle une donnée non – négociable, une exigence de chaque instant qui devrait inspirer tout l’univers de la mode et du textile.(7)

http://www.youtube.com/watch?v=a9ibmOxF_dQ&feature=player_embedded
http://www.wawataynews.ca/archive/all/2012/3/16/wolverine-trapped-pagwa_22549
http://furtrimisatrap.com/the-cruelty-trap/
http://furtrimisatrap.com/the-indigenous-trap/
http://www.primaloft.com/fr/performance/home.html
http://www.come4news.com/la-fourrure-joue-avec-le-faux-475486

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/grande-consommation/actu/0202565010985-stella-mccartney-impose-ses-valeurs-ecolos-dans-la-mode-539433.php

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